sexta-feira, 26 de outubro de 2012

“Marcha Lenta”, em defesa do IP2 e do IP8/A26

Comissão Organizadora da “Marcha Lenta” lança apelo às populações

A Cimbal- Comunidade Intermunicipal do Baixo Alentejo, o Nerbe/Aebal – Associação Empresarial do Baixo Alentejo e Litoral e a Turismo Alentejo apelam à participação de autarcas, empresários, demais entidades e população em geral, na “Marcha Lenta”, em defesa do IP2 e do IP8/A26. A “Marcha Lenta” está prevista para amanhã. As colunas de veículos automóveis vão, ao início da tarde, sair de Serpa, Vidigueira, Aljustrel, Castro Verde e Ferreira em direcção a Beja. A chegada e concentração, prevista para o Parque de Feiras e Exposições de Beja, está marcada para as 16 horas.
As diversas entidades pretendem exigir a melhoria das acessibilidades na região.

sábado, 20 de outubro de 2012

A ASSEMBLEIA VOTA A CONTRIBUIÇÃO EXCEPCIONAL DE 75% PARA OS GRANDES LUCROS

L'Assemblée vote la contribution exceptionnelle à 75 % pour les très hauts revenus

Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le

L'Assemblée nationale a voté vendredi 19 octobre la contribution exceptionnelle à 75 % sur les très hauts revenus d'activité, annoncée par François Hollande pendant sa campagne présidentielle et décriée par les députés UMP comme une mesure "symbolique" qui va "très peu rapporter".

Cette contribution vise pendant deux ans les revenus d'activité supérieurs à un million d'euros par an et par contribuable. Elle doit toucher environ 1 500 personnes, qui paieront en moyenne 140 000 euros à ce titre, pour un gain estimé à 210 millions d'euros par an.

ENTREVISTA DO "LIBERATION" À FAMÍLIA MENDES EM ÉVORA

«Il n’y a même pas de jobs au noir»

"Já nem há biscates"

Interview Portugal. Les Mendes à Evora

Par FRANÇOIS MUSSEAU (à Evora)
Chez les Mendes, on a toujours eu l’esprit de famille, mais jamais on n’a été aussi soudés qu’aujourd’hui. Par la force des circonstances. Jusqu’en 2011, Manuel et sa femme vivaient tant bien que mal, en location, dans une maisonnette de la rua da Moeda, dans le centre d’Evora, gros bourg de l’Alentejo. Deux retraités tirant le diable par la queue, dans un Portugal en récession. Lui, un ancien menuisier talentueux (les beaux meubles de la maison portent sa signature) émargeant à 375 euros par mois, victime de deux thromboses et d’un AVC. Elle, couturière pendant quarante-deux ans dans une usine, 190 euros de retraite, et un cancer de la gorge la rendant quasi immobile.
Le regroupement familial forcé commence l’an dernier. Leur fille, Maria Helena, qui tenait un restaurant avec un mari alcoolique et violent, quitte le domicile conjugal et se réfugie sous le toit parental, avec ses deux rejetons : Beatriz, 9 ans, sourde à 80%, et Iuri, 13 ans, un fou de foot, qui souffre de douleurs intestinales : «Je suis sûr que c’est lié aux problèmes de la famille !» rigole-t-il. Sa mère le pense aussi. Elle a le sourire facile et énergique. Sa situation n’a pourtant rien d’enviable : le restaurant a fait faillite, les indemnités chômage appartiennent au passé, elle touche le subsidio social subconsecuente, un revenu minimum d’insertion de 330 euros. «Heureusement qu’on bénéficie de la pension alimentaire de mon ex-mari bon à rien : 25 euros par mois !» dit Maria Helena, qui, dix heures par jour, travaille bénévolement à la Croix-Rouge.
L’irruption de Maria Helena dans le bercail a modifié la vie parentale. Manuel et sa femme, qui faisaient chambre à part depuis des années, ont dû réapprendre à dormir côte à côte. Maria Helena dort avec sa fille, Iuri est dans un petit lit. En septembre, la troisième chambre, nichée sous un escalier, a été occupée par Pedro, le fils de Manuel, qui doit aussi se blottir dans un petit lit avec son gamin : après douze ans chez Siemens, une usine d’assemblage à la sortie d’Evora, il a été congédié sans explication. A 40 ans, il se retrouve au chômage (comme 16% des actifs portugais), avec 700 euros d’indemnités. Il suit une formation d’électricien au cas «où un poste se libère quelque part». Mais il est pessimiste : «Tout est à l’arrêt, il n’y a même pas de quoi faire des jobs au noir.»
Chez les Mendes, il faut nourrir, habiller, payer les frais des sept personnes vivant sous le même toit. «On est très juste, lâche Manuel, le grand-père. Chaque jour, un de nous va chercher des repas à Caritas et on met tout en commun.» Il baisse la tête, sa dignité en prend un coup. Malgré ses 70 ans et ses ennuis cardiaques, il reste le pilier de ce havre familial résistant aux vents de crise. Seul moment de détente : la pêche, chaque jour. «J’oublie tout, et puis ça nourrit gratis !» Ce soir-là, il a rapporté douze beaux poissons, qu’il s’empresse de coincer dans un congélateur qui déborde. «On n’est jamais trop prudent. Jamais.»

FIM DOS TPC NAS ESCOLAS FRANCESAS


Les devoirs à la maison, point final
Le Point.fr- Publié le - Modifié le

Le rapport sur la refondation de l'école préconise la fin du travail à la maison. Une véritable petite révolution en perspective.

La refondation de l'école sonnera-t-elle le glas des devoirs ?
Fini, les devoirs à la maison ! Le rapport issu de la consultation pour la refondation de l'école, lancée par le nouveau gouvernement, sonne le glas pour le rituel du soir des écoliers. Le texte préconise en effet d'"intégrer l'aide personnalisée dans le temps scolaire et d'organiser l'accompagnement du travail personnel à l'école même, dans le cadre d'une réforme des rythmes". Et de conclure très explicitement : "Cela signifie la suppression effective des devoirs à la maison." Voilà qui a le mérite d'être clair. Pourtant, le travail écrit à la maison est d'ores et déjà officiellement supprimé depuis 1956. Mais la loi n'a jamais été appliquée, si bien qu'aujourd'hui cette décision prend des allures de véritable révolution.

sexta-feira, 19 de outubro de 2012

‘Diário de Classe’ faz escola nas redes sociais - Opinião e Notícia

 

OLHA SE A MODA PEGA!!!
 

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‘Diário de Classe’ faz escola nas redes sociais - Opinião e Notícia
Fachada de posto de saúde em Goiânia (Fonte: Reprodução/Luisa Portugal)

Inspirada no grande sucesso do “Diário de Classe”, página criada por uma estudante de 13 anos no Facebook para denunciar problemas da instituição onde estuda, uma médica de Goiânia decidiu criar o “Diário de um Posto de Saúde”, a fim de exigir melhorias no local onde trabalha.

segunda-feira, 15 de outubro de 2012

13 de Outubro em BEJA -Praça da Républica

























BELISSÍMO TEXTO DE Antagonices: O que me entristece

Antagonices: O que me entristece

Segunda-feira, 15 de Outubro de 2012


O que me entristece


O que me entristece, é não poder dizer aos meus pais, e aos meus filhos, Não se preocupem, vai correr tudo bem. Isso é que me entristece! E saber cada vez mais diminutas as probabilidades de ver sorrisos nos rostos dos meus amigos. Isso é que me entristece!

Sei lá eu se vai correr tudo bem! Espero que corra. Mas sei lá eu se vai correr! Portugal andou anos e anos a acreditar que a sua salvação estaria na fé e olha o que aconteceu – no momento, praticamente no momento, em que tudo se concretizava, pimba. Tudo por água abaixo. Está visto que isto não vai lá com fé. Não, não me parece que seja a fé a salvar-nos.

Acho que temos de fazer mais qualquer coisa para além da reza – temos de mostrar que estamos verdadeiramente empenhados. Verdadeiramente empenhados em andar para a frente. Verdadeiramente empenhados em crescer. Verdadeiramente empenhados em não nos deixarmos governar por outros interesses que não os nossos – os da maioria que somos nós; os de quem realmente trabalha. Os nossos. Os nossos interesses. Os interesses dos portugueses; e dos gregos; e dos espanhóis; e dos italianos; e dos franceses; e dos holandeses… Os interesses de quem trabalha e não de quem não sabe, nem nunca soube, o que isso é. Não os interesses de quem tem construído a vida à custa de especulações, compadrios e vigarices. Não os interesses da bolsa ou dos mercados, essas entidades virtuais e anónimas que encerram em cápsulas meia dúzia de vampiros que sabem que no momento em que de lá saírem sucumbirão. Mas os interesses de quem trabalha. De quem é gente que nasce e morre; que come e dorme e ri e chora e ama e luta e pensa e cria e É. Os nossos interesses.